Sirh

Les clés de la réussite dans la gestion de talents en 2023 

Le | Contenu sponsorisé - Sirh saas

Programme de rétention de talents, démocratisation de la formation, développement durable en ligne de mire. Une enquête réalisée par Cornerstone nous présente les tendances de HCM, de contenus et d’apprentissage les plus susceptibles d’influencer les leaders de gestion de talents en 2023. Eclairages.

Les clés de la réussite dans la gestion de talents en 2023  - © D.R.
Les clés de la réussite dans la gestion de talents en 2023 - © D.R.

Post Covid et face à la crise géopolitique, le climat actuel extrêmement mouvant contraint les entreprises à naviguer à vue.

« Aujourd’hui, elle n’ont d’autres choix que de renforcer leur capacité de changement, d’être flexible, adaptable… Et ce d’autant plus que les modalités de travail, comme le télétravail, mais aussi les besoins des salariés, comme l’accès à des apprentissages plus proches de leurs aspirations personnelles ont changé », commente Charlotte Benoît Senior Product Marketing Manager chez Cornerstone, avec la publication d’une enquête Cornerstone sur les tendances HCM.

De plus, les talents s’octroient aujourd’hui beaucoup plus de liberté quant à ce qui les lie aux entreprises. La fidélité n’est désormais plus de mise et ces dernières font face à une concurrence féroce pour accéder aux meilleurs profils.

Mais ont-elles compris les velléités de leurs collaborateurs et des candidats potentiels ? « Nous constatons un écart croissant entre la façon dont les organisations perçoivent leur capacité à développer les capacités et les compétences de leurs employés et l’expérience qu’en ont ces derniers. En 2022, cet écart était de 31 %. Un décalage auquel s’ajoute une perte de confiance puisque cette même année, seuls 55 % des employés déclaraient faire confiance à leur entreprise pour prioriser leur développement de compétences », détaille Charlotte Benoît.

Aussi en 2023, établir des programmes de rétention à la hauteur des attentes des employés est une gageure. Des dispositifs dont l’impact dépendra de l’identification de leurs besoins en temps réel, via le recueil et l’exploitation de leurs données, et d’une réponse adaptée au moment opportun. Mais aussi de la capacité des entreprises à « connecter » intuitivement leurs collaborateurs aux opportunités d’évolution professionnelle en interne.

Cornerstone : enquête HCM (extrait) - mars 2023 - © D.R.
Cornerstone : enquête HCM (extrait) - mars 2023 - © D.R.

Le développement de compétences par le biais de solutions intuitives

En 2023, le développement durable est également une valeur conséquente pour séduire et conserver les talents.

« Cela se joue sur deux volets. D’une part sur l’image que véhicule l’entreprise en matière de responsabilité environnementale. 51 % des étudiants accepteraient un salaire inférieur afin de travailler pour une entreprise respectueuse de l’environnement. D’autre part sur sa capacité à fédérer ses salariés sur cette question en proposant des contenus de formation qui portent sur le développement durable », explique Charlotte Benoît.

Enfin, la démocratisation de l’apprentissage par le biais du partage de compétences et de connaissances via des solutions intuitives adaptées à chaque parcours est l’un des sacerdoces de la gestion des talents en 2023.

« La clé de la réussite réside dans le recours à des plateformes d’expériences d’apprentissages (LXP) basées sur l’IA qui sont accessibles à n’importe quel moment et s’appliquent à répondre aux besoins réels des apprenants. Les contenus doivent être exhaustifs et extrêmement variés et prendre des formes diverses (podcasts, vidéos, quizz…) », ajoute-t-elle.

Une approche de formation qui peut tout aussi bien permettre à un collaborateur d’acquérir de nouvelles compétences techniques, mais aussi comportementales et pourquoi pas d’appréhender des sujets plus en rapport avec sa vie personnelle.

« L’idée est d’ouvrir tous les champs des possibles, sans restriction, ni contrainte dans un but d’appartenance sociétale dont l’entreprise, tel un partenaire, devient un vecteur d’apprentissage », conclut-elle.