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Pourquoi les attitudes de vos salariés priment-elles sur leurs aptitudes ?

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Eurécia est éditeur d’un SIRH… mais c’est aussi une PME de 30 personnes qui ne cesse de recruter et doit faire face aux mêmes problématiques RH que ses clients. Pour son CEO, il faut remettre en question l’approche traditionnelle du recrutement qui fait inlassablement prévaloir le diplôme, l’expérience et les compétences techniques sur le savoir-être

Pourquoi les attitudes de vos salariés priment-elles sur leurs aptitudes ? - © D.R.
Pourquoi les attitudes de vos salariés priment-elles sur leurs aptitudes ? - © D.R.

 « Le savoir et le savoir-faire sont des critères rassurants pour le recruteur ; ils sont évidemment importants mais pas suffisants. Au-delà de l’analyse technique d’un CV, il est essentiel de considérer l’attitude et l’état d’esprit des candidats. J’observe que ce sont avant tout leurs soft skills et leur quotient émotionnel qui garantiront leur capacité à s’intégrer dans la culture de l’entreprise » explique Pascal Grémiaux, CEO d’Eurécia.

Chassez le naturel, il revient au galop

« Il sera toujours plus simple de faire progresser les aptitudes de vos collaborateurs que de faire changer leurs attitudes » constate le dirigeant. Ténacité, agilité, résilience, capacité à travailler en équipe : ces qualités sont en effet difficilement une simple affaire de formation professionnelle… alors qu’elles sont pourtant indispensables pour réussir dans certains types de postes ou dans certaines typologies d’entreprises. Et si la clé d’un recrutement réussi n’était pas visible sur un CV ? « Plutôt que de vous entêter à chercher des superhéros, misez plutôt sur des candidats qui ne brillent pas forcément sur leur CV mais qui ont le potentiel d’apprendre, d’être actifs et d’être acteurs de leur poste. Pour une récente embauche, nous avons reçu de nombreux CV de candidats issus de grandes écoles et justifiant de belles expériences dans des grandes entreprises. Nous avons finalement choisi un collaborateur dont le parcours atypique prouvait d’emblée qu’il était capable de se remettre en question. Car c’est une aptitude clé pour une PME comme la nôtre » témoigne Pascal Grémiaux.

En entreprise, les mauvaises attitudes sont contagieuses

L’engagement des collaborateurs est résolument le nerf de la guerre des services RH, qui ont bien compris qu’un recrutement raté pouvait coûter cher à leur entreprise - et pas seulement financièrement. Selon une étude Gallup publiée en début d’année, seulement 30 % des salariés américains sont « engagés » dans leur job alors que 70 % sont « désengagés » dont 20 % « activement désengagés ». Il y a fort à parier que ces chiffres ne sont pas si différents en France. Or, quand un collaborateur passe son temps et son énergie à dénigrer, à désavouer voire à défier son employeur, ses clients ou ses collègues, cela laisse souvent des traces en interne… alors qu’un bon état d’esprit est résolument vecteur de productivité et de performance. « L’entreprise n’a pas le droit de se rater… et pourtant qui n’a pas fait des erreurs de casting ? » s’interroge le dirigeant. Pour limiter les risques, le premier réflexe consiste à revoir la liste des critères de recrutement et d’évaluation des salariés - et d’intégrer, y compris au sein de votre logiciel de gestion des talents, les qualités de savoir-être qui sont déterminantes pour le développement de votre entreprise.