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Altaïde intègre le bouton « Apply with LinkedIn »

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Dans la nouvelle version de son site, Altaïde a décidé de miser sur la clarté, la simplicité et l’interactivité : site tout-en-un, candidature simplifiée et partage social des articles… Une manière de s’inscrire un peu plus dans le social recrutement

Créé il y a 11 ans, le site Altaïde, spécialisé dans le recrutement 2.0, vient de se doter d’une nouvelle version plus centralisée. Alors que l’ancienne formule comprenait un site corporate, un blog et un site d’offres d’emploi, la version actuelle combine les trois. Une volonté de clarifier les choses de la part d’Altaïde et de jouer l’interactivité. « Aujourd’hui, les actualités et les offres d’emploi sont partageables sur Facebook, Twitter, Google+ et LinkedIn. On a voulu faciliter ce partage social », souligne Jacques Froissant, fondateur et dirigeant d’Altaïde.

Toujours innovant

Tandis qu’Altaïde avait su se positionner du côté des start-up tournées vers le web à ses débuts, le site joue une nouvelle fois la carte de l’innovation en intégrant au site le bouton « Apply with LinkedIn » à toutes ses offres d’emploi. « Nous sommes la seule entreprise à le proposer en France. Nous avons toujours cherché à faciliter la réponse pour le candidat. Le web reste un domaine où nous manquons de personnes », explique le spécialiste du recrutement 2.0. Le candidat intéressé par une offre peut dès à présent postuler en deux clics via la fonction LinkedIn. Altaïde espère ainsi attirer des professionnels qui ne sont pas forcément en recherche d’emploi et mettre à jour de nouvelles pratiques. « À terme, le CV est mort. De plus en plus de candidats possèdent des comptes Viadeo et LinkedIn, et point barre », certifie Jacques Froissant. 

L’avis du réseau

Afin de coller parfaitement aux attentes des professionnels du web et des habitués, Altaïde a souhaité s’en remettre à l’avis de son réseau tout au long de l’élaboration du site, que ce soit au niveau du graphisme, de l’agencement global ou encore de la phrase d’accroche. « Parmi les principales volontés des lecteurs et des utilisateurs, nous retrouvions l’idée de tout recentraliser », précise le dirigeant. Aujourd’hui, Altaïde se laisse le temps d’observer ce qui fonctionne ou pas. Mais les premiers retours vont déjà vers un plébiscite du partage social des offres d’emploi.

Aurélie Le Caignec